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  • Lucie

Mongolie, Mai 2018


23, 24, et 25 Mai 2018.

Un nouveau départ, une nouvelle destination au sein de ce pays qui m'enchante. La Mongolie.

Nous partons à quatre. Arrivés à Oulan Bator, le lendemain, nous sommes désormais familiers des lieux et la chaleur des retrouvailles avec notre guide Chingun est sincère.

La première journée est consacré à quelques courses et préparatifs de dernière minute.

Et dès le lendemain matin, nous prenons la route vers Baga Gazriin Chuluu.

Première constatation, des cadavres d'animaux ponctuent notre route, donnant lieu à des ballets de vautours.

Le paysage change progressivement, des gazelles courent au loin, l'herbe se raréfie et les montagnes reculent, laissant priorité au ciel.

Les premiers chameaux, apparemment en pleine mue, annoncent la proximité du Gobi.

Les premiers chameaux

Je guette les troupeaux de chevaux, bien évidemment...

Dès le lendemain, nous sommes dans le Gobi central, et la vision d'un beau troupeau de moutons et chèvres, menés par un mongol à cheval avec sa urga, en milieu de village, nous fait stopper.

Crossing de troupeau

Ils transhument ! C'est un sacré chantier et les locaux, enfants, adultes, tout le monde met la main à la pâte. Après cette traversée sportive tout le monde se repose, une famille vient, sans doute pour acheter un mouton. Nous restons discrets puis nous les regardons partir, tranquillement, avant de reprendre notre chemin.

Sur la route le vent souffle sans répit, l'ambiance est fantomatique à souhait et renforcée par les silhouettes des chameaux, d'aspect loqueteux, et pas vraiment photogéniques, sauf les chamelons, qui sont tout neufs.

Chamelon

Nous nous arrêtons aux falaises de Tsagaan suvraga. Le vent est tel que la prudence s'impose. Et il est bien difficile d'en rendre la grandeur en photo.

Le soir, nous dormons chez Gerelmaa, . Elle est accueillante, souriante, énergique, veuve, vit avec sa mère, et la famille vient l'aider de temps à autre. Le camp n'est pas encore fini d'installer et les lits à côté des yourtes, conjugués à la sécheresse du paysage, nous plongent dans une atmosphère totalement irréelle. Comme c'est bon ...

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