Montier, c'est vraiment loin. Mais c'est vraiment bien. C'est un festival d'émotions, de rencontres, d'émerveillements, de questionnements voire de perplexité devant certaines images qui défient la raison et la compréhension.

On retrouve les copains, on rencontre les copains des copains, et on élargit son horizon à tous points de vue.

Il y a de l'admiration aussi, pour cette armée de bénévoles qui oeuvrent dans l'ombre pour que tout soit parfaitement orchestré.

J'avoue que le petit verre de chablis avec les "potes", doublé d'un bol de soupe aux asperges (certains ont préféré le sandwich au canard), en attendant que la file d'entrée au Cosec se dilue restera un moment précieux dans ma mémoire. Et les petits déjeuners au Toro bleu un excellent souvenir!

Moi qui ne prend jamais le temps d'imprimer mes photos, c'est aussi une remise en question. Les photos, elles sont terminées quand elles sont imprimées. C'est l'aboutissement d'un processus créatif. Le Graal étant l'exposition et la présentation au public. Public ravi, conquis, dont j'ai fait partie pour la première mais pas pour la dernière fois!